Comment aider son enfant lors d’un divorce ?

Un divorce ou une séparation est un évènement qui déséquilibre ceux qui le vivent. Il inscrit une rupture dans un quotidien installé depuis des années.

L’enfant s’est accoutumé à cette routine familiale avec maman et papa qui vivent tous les deux à la maison. Il a son cadre de vie bien établi, ses habitudes, ses repères et du jour au lendemain, la décision de ses parents de mettre fin à la commune remet tout en question. 

L’enfant va vivre de nombreux changements en fonction des choix parentaux. En fonction de son âge, de sa personnalité et de son état d’esprit, il peut mal vivre cette séparation.

Heureusement, en tant que parents, le malheur de votre enfant n’est pas une fatalité que vous devez accepter et subir. Votre rôle, c’est de faire en sorte de veiller à ses intérêts supérieurs et d’agir pour lui éviter un quelconque traumatisme. Vous avez le pouvoir de l’accompagner de la manière la plus protectrice vers cette nouvelle transition de vie.

Ce n’est pas tant le divorce qui crée des troubles, des inquiétudes et des angoisses à l’enfant mais c’est bien le comportement de ses parents face à cette nouvelle situation.

J’ai coutume de dire à mes coachés qu’un parent heureux fait un enfant heureux. Et inversement un enfant heureux fait un parent heureux.

C’est pourquoi son papa et sa maman doivent prendre des décisions qui leur permettent chacun de vivre au mieux cette séparation et éviter tout ce qui contribue à créer pour soi et pour l’autre des émotions très négatives, de la colère ou de la haine. 

C’est le sacré enjeu de la rupture : se séparer de son partenaire , souvent parce que la relation devenait conflictuelle ou que les conditions pour s’épanouir ensemble n’étaient plus réunies, tout en veillant à garder ou à construire une communication intelligente avec l’autre parent.

C’est un véritable paradoxe car concrètement cela signifie que les parents doivent communiquer de manière plus constructive et apaisée que quand ils formaient un couple. Ce n’est pas un exercice facile, loin de là !

Les causes d’une séparation ne favorisent pas une bonne entente future.

Mais au regard des bénéfices à agir de son mieux au profit de son enfant, le jeu en vaut largement la chandelle. Car oui, c’est possible de traverser un divorce sans que l’évènement ne dégénère en honte, en manipulations abusives et répétées, en amertume définitive et en guerre incessante.

Les actes à mettre en place sont à la portée de tous les parents car ils sont simples à comprendre. Et les bénéfices à les appliquer sont gratifiants : la bonne santé des membres de la famille, la joie de vivre, l’épanouissement des enfants et la fierté de transformer une rupture en une opportunité de renaissance positive et de reconstruction pour chacun.  

En revanche, il n’y a pas de recette magique pour aider son enfant. S’engager à le protéger et se comporter avec constance et persévérance sont les solutions concrètes pour le faire grandir sereinement.

Les 9 règles décrites dans la suite de cet article contribuent à créer dans la vie de l’enfant la sécurité, l’amour et la confiance dont il a besoin pour devenir plus fort et plus épanoui.

D’autre part, la manière dont vous vous comportez face aux difficultés et au changement l’influencera grandement dans sa propre façon de réagir aux imprévus de l’existence.

Un parent, une maman ou un papa, qui fait de son mieux pour avancer et progresser sera très inspirant et aussi très sécurisant pour lui.

Voici donc 9 les attitudes et agissements qui vont grandement aider votre enfant à vivre ce changement familial auquel il ne s’attendait peut-être pas :

1.La reconnaissance du rôle et de l’autorité de l’autre parent cadre l’enfant dans un divorce

Les enfants sont les enfants et les parents sont les parents. Autrement dit, les parents ont vis-à-vis de leurs progénitures des rôles à endosser et des responsabilités à respecter. Même si cela paraît évident, il est important de faire comprendre à son enfant que maman est toujours maman et que papa est toujours papa.  

Leurs rôles respectifs persistent même s’ils ne vivent plus ensemble.

Concrètement, cela implique, que vous répétiez à votre enfant ou votre adolescent, qu’il doit le respect et la prise en compte des dires de l’autre parent.

Par exemple, si votre enfant se plaint parce que chez son père, il n’a pas le droit de regarder la télé en semaine, répondez-lui en lui expliquant qu’il doit obéir aux règles de son père.

Si personnellement vous n’êtes pas d’accord avec des règles de vie installées chez l’autre parent, vous pouvez lui en faire part et éventuellement trouver un terrain d’entente. Mais ne donnez pas à l’enfant l’occasion et le pouvoir de critiquer l’autre parent que ce soit son père ou sa mère. 

Un enfant qui sent, que même si ses parents ne sont plus ensemble, gardent une cohérence dans leur rôle de parents et respectent les rôles de chacun se sentira beaucoup plus rassuré d’avoir des parents unis pour veiller à son éducation.

2.Le langage verbal et corporel transmet des messages importants à l’enfant de parents séparés

La communication, vous le savez, ne se limite pas aux mots que vous prononcez mais à ce que dégage votre corps et au ton de votre voix.

En résumé, quand vous parlez de l’autre parent, surveillez le ton que vous employez et la gestuelle associée. Les enfants sont extrêmement forts pour décoder votre langage inconscient. 

Par exemple, imaginez que vous découvrez dans le cahier de liaison avec l’école que votre fils a été en retard à l’école dans la semaine et c’était un jour où il était convenu que son père le dépose à l’école. Au lieu de vous énerver devant votre enfant, même si vous êtes très à cheval sur la ponctualité, en disant avec un ton coléreux et le poing serré : » ton père t’as encore mis en retard à l’école !!! »,  adoptez un ton neutre et des paroles factuelles « je vois que tu as été en retard cette semaine » si vous voulez en parler à l’enfant. 

3.Les adultes qui côtoient vos enfants peuvent devenir vos alliés pour surmonter la séparation

Ne pensez pas que vous êtes le seul adulte qui puisse aider votre enfant dans cette transition de vie.

Il est coutume de dire en Afrique (et même ailleurs) qu’un enfant est élevé par un village entier.

Votre enfant évolue dans un écosystème qui lui permet de côtoyer des adultes différents dans sa journée, dans sa semaine, dans le mois et dans l’année. Je pense notamment :

  • à son pédiatre ou son médecin généraliste : les professionnels de la santé ont l’occasion de suivre des enfants régulièrement dont certains ont des parents séparés. Leur expérience vous aidera à détecter tout dysfonctionnement, tout point de vigilance de votre enfant. Ils seront aussi d’excellents conseils pour résoudre un problème de sommeil, un problème d’alimentation ou autre. D’autre part, s’ils estiment leur aide insuffisante, ils pourront vous guider vers des confrères ou d’autres spécialistes. 
  • à son enseignant, au personnel de la crèche :  ils sont habitués à s’occuper des enfants et ils passent des heures avec le vôtre. Ils sauront vous rassurer ou tirer la sonnette d’alarme si besoin. 
  • à ses profs d’activités extra-scolaires : ils sont là pour développer des capacités artistiques ou sportives, partager leurs savoirs, leur culture ou leurs compétences. Grâce à eux, l’enfant se change les idées et gagne de nouveaux apprentissages qui l’aident à développer sa confiance en soi. Ces activités, qui le coupent du quotidien, sont extrêmement bénéfiques pour lui.
  • aux parents de son ou de sa meilleure amie : ils peuvent vous servir de relais pour s’occuper de votre enfant pour vous permettre de vous reposer ou de vous rendre à un rendez-vous. Pour votre enfant, ces parents constituent des sources de stabilité chez qui et avec qui il a des habitudes rassurantes 
  • le psychologue scolaire : il peut être consulté à votre demande si vous avez besoin d’un avis extérieur

C’est pourquoi il n’est pas inutile quand vous les rencontrez d’expliquer votre situation familiale actuelle. Cela leur donne la possibilité de mieux comprendre certains comportements de vos enfants, d’être plus indulgents quand cela se justifie et d’avoir plus empathie envers eux.

Ils pourront aussi vous avertir s’ils ressentent un malaise de votre enfant.

De plus, il y a des chances que ces professionnels soient aussi des parents solo ou qu’ils aient connu cette situation. Certains vous en feront part et n’hésiteront pas à vous réconforter par des mots encourageants. 

Et si toutes ces personnes ne disent rien sur le comportement de votre enfant, c’est plutôt positif car communément c’est souvent quand il y a des problèmes, qu’ils sont communiqués.

Comme on dit : « Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ! ».

4.La routine est votre amie et la gardienne de la sérénité des enfants quand vous devenez chef de famille monoparentale

Certes, tout est à reconstruire quand vous vous séparez. Les changements peuvent se multiplier :

  1. Changement d’adresse : les enfants doivent s’adapter à un nouveau logement. S’il est plus petit, peut-être doivent-ils partager leur chambre. Ils ont besoin de trouver de nouvelles marques et s’approprier les lieux, faire connaissance avec les nouveaux voisins
  2. Changement d’école : il doivent changer de copains, de maitresses et s’intégrer dans un nouveau groupe
  3. Nouvelles habitudes quotidiennes : le quotidien s’organise différemment parce que vous récupérer des tâches qui, avant, étaient accomplies par votre ex ou parce que vous avez repris une activité professionnelle ou parce que vous avez changé d’activité professionnelle

Dans cette multitude de nouveauté, la routine permet de structurer les journées et rassurer les enfants par sa répétition.

C’est le moment d’appliquer les routines qui vous convenaient le plus régulièrement possible et d’en créer de nouvelles en rapport avec vos valeurs, votre type d’éducation et ce que vous voulez transmettre à vos enfants.

C’est l’opportunité de réaffirmer des règles qui vous sont chères et d’en faire appliquer de nouvelles. Les enfants ont besoin d’un adulte affirmé qui donne une direction à leur éducation et qui organise leur vie clairement. Concrètement ils ont besoin d’horaires réguliers pour dormir, manger, se lever et globalement pour rythmer leur journée.

En fonction de leur âge et de leur maturité, fixez-leur des règles et des devoirs à respecter comme : mettre la table, débarrasser la table, ranger leur chambre, enlever leurs chaussures à l’entrée de la maison, mettre le ligne sale dans le panier à linge sans le laisser traîner, demander la permission avant d’ouvrir le frigo, limiter les heures de jeux vidéos, la durée d’utilisation du téléphone portable…

C’est important de définir ses règles de vivre ensemble car après une rupture, la tentation est grande de se laisser-aller et de laisser aux enfants beaucoup de liberté sous prétexte qu’ils souffrent de la séparation.

Au contraire, les enfants, même s’ils disent le contraire, se sentiront plus en confiance vis à vis de leur avenir, s’ils sont surveillés et guidés par un parent qui sait ce qu’il veut et qui met en place un fonctionnement quotidien bien huilé.

C’est d’autant plus utile d’affirmer vos propres règles, vos routines et vos habitudes car il est possible que chez l’autre parent, ce soient d’autres modes de fonctionnement qui soient adoptés. Les définir et les communiquer à vos enfants leur apporte de la clarté.

5.Votre présence et votre disponibilité sont des engrais qui nourrissent sûrement et inconditionnellement votre enfant  

Vous êtes l’arbre sur lequel votre enfant s’appuie pour grandir et se développer. Même si vous manquez de temps et d’énergie, soyez le plus disponible possible pour vos enfants.

Je sais que ce n’est pas facile car vos journées sont des courses contre la montre entre vos contraintes professionnelles, personnelles et familiales. C’est pourquoi il va aussi falloir apprendre à prendre du recul et prioriser vos activités.

Si votre enfant ressent l’envie de passer du temps avec vous et qu’il a besoin de vous parler parce qu’il se sent triste par exemple, consacrez-lui du temps et tant pis si le ménage n’est pas fait ou si vous réchauffez des surgelés.

6.Votre fermeté dans votre rôle de parent et votre rôle de décisionnaire affirmé rassurent votre enfant

Vous êtes la maitresse ou le maitre de maison !

L’idée n’est pas de se comporter comme un dictateur qui s’octroie tout pouvoir et qui décide de tout sans tenir compte des impacts de ses choix sur le reste de son environnement.

L’idée est de vous conduire comme le commandant de bord de l’avion ou le capitaine du bateau. Vous avez vos convictions, vos projets et vos valeurs. Et c’est en fonction de ces derniers que vous guidez vos enfants dans la vie de tous les jours.

A chacun sa place : la mère ou le père a la responsabilité de prendre des décisions et de les faire appliquer en fonction de ce qu’il juge bon pour la famille.

L’enfant, en fonction de son âge ou de sa maturité, peut avoir un avis à donner mais la décision finale vous appartient.

Ne donnez pas à l’enfant un pouvoir qu’il n’est pas en âge d’utiliser correctement en essayant de répondre à toutes ses demandes et tous ces besoins.

Dire non à un enfant au risque de décevoir, de créer de la frustration, de mettre en colère ou de faire pleurer fait partie du rôle de parent.

D’une part, déception, frustration, tristesse et colère font partie de la vie et de l’apprentissage de l’enfant. Et d’autre part, ils ne sont pas durables.

Ce qui compte, c’est que l’enfant comprenne le pourquoi de vos choix. Et s’il est trop jeune pour les comprendre, c’est votre assurance dans la légitimité de votre choix qui va le rassurer. Et c’est énorme pour un enfant ! Cela lui enlève des peurs vis-à-vis de l’avenir.

En vous sentant sûr.e de vous, il s’autorise à être un enfant insouciant.

Si vous vous rendez compte que vous n’osez pas décevoir votre enfant, il peut-être opportun de faire un travail sur vous pour comprendre pourquoi vous ne vous autorisez pas à le décevoir. N’hésitez pas à me contacter en privé pour approfondir ce sujet qui peut saboter votre relation avec votre enfant.

7.La qualité de la communication avec l’autre parent impacte directement l’épanouissement de votre enfant

Deux parents, qui se détruisent mutuellement, détruisent leur enfant.

Je suis régulièrement des mamans et des papas qui sont en conflit pour diverses raisons . Les tensions s’intensifient quand les reproches de chacun ne conduisent à aucune amélioration dans l’entente du couple.

Que les torts soient partagés ou pas, lorsque la rupture devient inévitable, des émotions fortes comme la colère, la rancoeur, la tristesse rendent la communication encore plus difficile avec l’autre parent. Maman n’aime plus papa ou papa n’aime plus maman. Et même s’il y a encore de l’amour, maman et papa ne se supportent plus. Et cela se traduit par des attaques, des méchancetés, des mesquineries envers l’autre parent.

Quand un parent ne supporte plus l’autre parent, il ne voit plus que les défauts de cet autre parent.

L’enfant aussi, toujours en fonction de son âge et de sa maturité, peut voir les torts de chaque parent. Et ça ne l’empêche pas d’aimer ces deux parents.

C’est pourquoi il va se sentir mal s’il se retrouve entre ces deux parents, dans une guerre qu’il n’a pas choisie mais dont il est victime et parfois otage.

Que vous n’aimiez plus ou ne supportiez plus votre partenaire, c’est un fait et c’est votre droit. En revanche, vous ne pouvez pas empêcher votre enfant d’aimer son père et sa mère.

Pour cette raison, il est essentiel de veiller devant l’enfant à conserver une communication neutre et sans animosité ou rancoeur.

Vous blessez votre enfant quand vous dénigrez l’autre parent ouvertement et dans l’intention de le nuire.

Je le répète parce que c’est important : 

Deux parents, qui se détruisent mutuellement, détruisent leur enfant.

Et deux parents, qui se respectent mutuellement, apprennent le respect à leur enfant.

Demandez-vous dans la communication que vous entretenez avec votre ex-partenaire, qu’est-ce que vous souhaitez que votre enfant en retire comme apprentissage ?

8.Un entourage bienveillant et inspirant influence l’humeur et la vision de la situation actuelle de votre enfant de la vie de parent célibataire

C’est l’occasion de socialiser et de rencontrer d’autres parents seuls, séparés ou divorcés.

En rencontrant des mamans ou des papas qui sont à la tête d’une famille monoparentale, vous faites réaliser à votre enfant que sa situation n’est pas exceptionnelle. Il n’est pas un cas isolé. Ca aide à dédramatiser la situation actuelle. Cela vous permet aussi de partager votre expérience avec d’autres parents, et vous verrez, cela apporte beaucoup de soutien et de bien de ne pas se sentir seul.e.

Néanmoins faites tout de même le tri entre les parents qui sont éternellement négatifs et qui vous entraînent dans leur monde triste et les parents qui font de leur mieux pour bien élever leur enfant, qui cherchent des solutions pour améliorer leur vie.

Toujours dans le but de préserver un maximum les enfants, c’est le moment pour eux de passer du temps avec leurs grands-parents aussi bien maternels que paternels.

Les enfants ont la liberté de choisir qui ils aiment et c’est la raison pour laquelle entretenir des liens avec des personnes qu’ils connaissent bien et qu’ils apprécient est primordiale pour leur bien-être.

Si vous avez déménagé et que les enfants ne peuvent plus voir physiquement leurs copains préférés, encouragez-les à garder contact par téléphone ou par visioconférence.

9.L’encouragement de l’enfant à voir son père ou sa mère est libérateur pour lui

Votre enfant a besoin de l’amour de ses deux parents.

Aider votre enfant, c’est lui laisser la liberté d’exprimer son amour et de dire franchement ce qu’il pense.

Aider votre enfant, c’est l’aider à garder le lien avec l’autre parent.

Concrètement, cela se traduit par des actions comme :

  • Lui souhaiter de passer de bons moments avec son père ou sa mère quand il vous quitte. Des paroles comme « Bon week-end avec ton papa. », « Profites bien du temps que tu passes avec ta mère », « Amusez-vous bien ensemble », « Passez de belles vacances » l’autorisent pleinement à se sentir bien avec l’autre parent. D’autre part, ils permettent de ne pas éprouver de la culpabilité à vous laisser seul.e. C’est normal pour un parent de se sentir triste quand il laisse l’enfant à l’autre parent mais ce n’est pas pour autant que l’enfant doit aussi être triste. L’enfant a le droit de ressentir de la joie à l’idée de voir son autre parent.
  • Le laisser contacter son autre parent par téléphone, par skype ou en physique s’il en ressent un grand besoin
  • Le laisser garder une photo de son père ou de sa mère absent.e avec lui, dans son cartable ou dans sa chambre ou tout autre souvenir significatif pour lui.
  • L’encourager à souhaiter l’anniversaire de l’autre parent en le laissant écrire une lettre , sur une carte postale, en le laissant faire un dessin ou un achat pour un cadeau. Cela fonctionne aussi pour les occasions spéciales comme les fêtes de Noël. Même si vous pensez que l’autre parent n’est pas le meilleur éducateur qui soit, n’empêchez pas votre enfant de choisir un cadeau sur lequel il est écrit en gros « Tu es un super papa. »

Ces 9 règles vous aideront à garder le cap de cette traversée en terre inconnue : d’une rupture sentimentale difficile à un nouvel équilibre plus heureux. En tout cas, c’est tout ce que je vous souhaite.

N’hésitez pas à poser des questions dans les commentaires, à apporter des témoignages ou à me contacter en privé pour toute demande d’accompagnement privé pour surmonter une rupture ou un divorce.

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lanouvellemamansolo

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