Les clés pour mieux vivre avec son adolescent

Cet article fait suite à deux précédents articles sur la parentalité avec de jeunes enfants que je vous invite vivement à découvrir car ils complètent celui-ci.

Etant moi-même maman d’une jeune adolescente qui vient d’entrer au collègue, cette thématique autour de ce qu’on appelle communément « l’âge ingrat » m’intéresse particulièrement.

Cette période de transition entre l’enfance et l’âge adulte constitue un grand bouleversement pour l’adolescent et toute sa famille qui doit s’y adapter afin de préserver l’harmonie à la maison. 

Cette phase de la vie adolescente est souvent redoutée car rares sont les parents qui se sentent optimistes et armés pour accompagner avec réussite celle ou celui qui a souvent grandit trop vite.

Je ne compte plus les paroles impuissantes, résignées, déprimées, défaitistes voire même démissionnaires de parents en évoquant leur adolescent. 

Grâce aux clés et aux réflexions que je vous partage dans la suite, vous serez plus solides et efficaces pour ne plus voir l’adolescence comme une épreuve pénible mais une expérience riche et formatrice pour faire de votre grand enfant une personne épanouie et confiante en l’avenir.

La tranquillité d’esprit est à portée de vos mains.

Le premier point le plus important pour une parentalité réussie :

1.Comprendre ce qu’est l’adolescence pour être un meilleur parent

Un parent averti sur l’adolescence en vaut 2. C’est important de savoir qu’un adolescent n’est pas foncièrement méchant, ni complètement incompréhensible.

Non, son but n’est pas de pourrir en permanence la vie de ses parents et de sa famille. 

Ne pas prendre personnellement ses attaques, sa mauvaise volonté, ses humeurs versatiles est votre nouveau mantra (et accessoirement l’un des 4 accords toltèques que je vous invite à découvrir).

S’opposer, contredire, contester, contrarier, refuser, ce sont des actions typiques de l’adolescent. Pour les parents, elles paraissent désagréables et pourtant, cette capacité à affronter le parent lui permet de se différencier, de se dissocier pour mieux construire sa propre identité.

Il passe du stade de l’enfant fusionnel, très proche de ses parents à la personne  distincte, qui s’éloigne, pour mieux se définir. Cette séparation est progressive et le fait grandir.

Et surtout, il ne faut jamais oublier que,  même sous ses airs rebelles, nonchalants ou distants, l’adolescent aime toujours ses parents. Il a toujours besoin de leur amour indéfectible et de leur soutien infaillible.

Quand, sans préavis, il vous envoie balader, n’oubliez pas que vous restez la personne de qui il a le plus besoin au monde. Votre défi est de savoir deviner au bon moment ce que vous pouvez lui apporter et comment vous allez le faire.

C’est déboussolant pour un parent l’adolescence, c’est aussi un deuil de l’enfance et l’acceptation des années qui filent à toute allure. Et c’est aussi déboussolant pour le jeune collégien ou lycéen. 

L’adolescent traverse une période de sa vie changeante dans plusieurs domaines : 

  • La puberté : Son corps est en pleine mutation, pas encore celui d’un adulte et de moins en moins celui d’un enfant. Il subit des transformations profondes promptes à le déstabiliser, des modifications de son être qu’il doit accepter et apprivoiser. Ces bouleversements modifient vos liens et son mode de communication avec vous et son entourage. L’enfant tactile qu’il était, celui qui courait vers vous à bras ouverts après la classe fait place à un adolescent physiquement plus distant et moins généreux en effusions.  Cette période est très propices aux complexes. L’enfant, avec un corps qu’il ne maitrise pas, peut développer des complexes, se sentir mal à l’aise et devenir plus pudique. 
  • La scolarité : Collèges et lycées sont des mondes biens plus exigeants et bien plus vastes que l’école primaire. Il doit apprendre à s’accoutumer à son fonctionnement, à son organisation et à ses règles. A l’entrée de ces nouveaux établissements scolaires, lui l’ancien « grand » CM2 devient le bébé face aux classes supérieures. Entouré d’enfants, en élémentaire, il se retrouve cerné d’autres adolescents, certains plus âgés avec leurs codes et leur univers. Il doit apprendre à s’adapter et s’intégrer dans ce nouveau milieu d’adultes en devenir.  
  • L’humeur : Elle est variable et instable. L’adolescent vit un yoyo émotionnel qui peut le rendre imprévisible et qui peut déstabiliser ses proches.

Grâce à votre empathie, vous comprendrez mieux les difficultés, les enjeux, les besoins et les peurs de votre ado.

Ce n’est surtout pas le moment de démissionner du rôle de parent sous prétexte que c’est un rôle difficile.

Vous avez du pouvoir. L’individu en construction, qui vous déroute parfois, a plus que besoin de votre présence utile et influençante. C’est ce qu’on découvre dans la suite.

2. Reconnaître son pouvoir et prendre sa place pour une parentalité détendue et épanouie

La fatalité doit absolument disparaître de votre philosophie et de votre vocabulaire. Idem pour le laxisme qui est nocif à la construction d’un futur adulte épanoui, autonome et responsable.

Votre ado vous paraît ingérable ? Stop aux doutes et à la peur ! L’échec éducatif n’est pas une option !

En tant qu’adulte, en tant parent, que modèle, en tant que référence, vous êtes la personne la mieux placée pour veiller au bien-être de votre enfant en pleine évolution.

Tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, tout ce que vous pensez, tout ce que partagez, ce tout que vous transmettez nourrit votre progéniture.

Tout ce que vous êtes : vos expériences, vos passions, vos centres d’intérêt, vos talents, vos défauts, votre mode de vie, vos opinions politiques, votre culture, votre religion, votre langue, votre accent (si vous en avez un), votre personnalité, vos habitudes lui sert à se construire, soit par l’imitation, soit par le rejet.  

C’est à partir de ce que vous lui montrez et de ce que vous lui proposez que l’adolescent construit son identité.

Autrement dit, vous avez un très grand pouvoir d’influence sur lui.

Votre adolescent est bien souvent un miroir miniature de vous-même sur pattes que ce soit à travers son physique, son caractère ou ses goûts.

Prenez votre place de parent, vous êtes légitime dans ce rôle même si parfois vous pouvez en douter. Il est vrai qu’il n’existe pas de formation spécifique pour devenir parent. Cela s’apprend sur le tas. En expérimentant. En testant. En réussissant parfois, en échouant parfois. Mais toujours en cultivant la patience, le respect du caractère unique de votre enfant et en apprenant de ces erreurs pour mieux réajuster.

Vous avez la responsabilité de l’éduquer selon vos valeurs et vos principes et c’est tout à fait à votre portée. Je détaille cela dans le 4è point.

3. Trouver l’équilibre entre liberté et sécurité de l’adolescent

Il sort de la bulle insouciante et bien protégée de l’enfance pour découvrir le monde, pour s’intégrer à la société et pour devenir un adulte bien dans ses pompes.

Son besoin de liberté est croissant et d’intimité. La place de ses amis, de ses potes est de plus en plus prépondérante. Il a besoin immense de leur compagnie.

En fonction de la confiance que vous avez en lui et en ses capacités, il va falloir définir dès règles relatives à :

  • Ses sorties autorisées : où, quand, comment, avec qui
  • Son temps d’usage des écrans et le choix de ses programmes et ses jeux 
  • Son alimentation qui se doit d’équilibrée et saine et d’une manière ce qu’il a le droit de consommer. En effet, il est légitime d’interdire certaines substances nocives ou aux effets négatifs sur la santé et la maîtrise de soi comme l’alcool et les drogues. Comme dit précédemment, votre rôle d’exemple a beaucoup de poids sur le comportement de votre ado. Vous pouvez difficilement lui interdire un produit si de votre côté, vous en êtes un régulier ou occasionnel consommateur.
  • Son usage de l’argent, son argent de poche

L’adolescent a donc droit à plus de liberté car il est plus autonome et plus mature qu’un enfant.

En revanche, cette liberté doit être accordée à bon escient, en fonction de son besoin et de sa maturité.

Une totale liberté est dangereuse pour lui car il n’a pas conscience de tous les dangers auxquels il s’expose ou il ne saura pas s’en protéger de manière adaptée.

C’est pourquoi ses droits doivent aussi pouvoir être appliqués en lui assurant de la sécurité.

Votre délicate mission est de trouver la bonne balance entre liberté et sécurité. Trop de liberté nuit à la sécurité. Et inversement trop de sécurité nuit à la liberté.

La sécurité se traduit par la mise en place de limites.

4.Mettre en place des limites et savoir responsabiliser

Tout comme un enfant, l’adolescent a besoin de vivre dans un cadre clair. Cet environnement précis, balisé de règles et de consignes, révèle vos valeurs et vos principes. Il favorise le bon développement de son corps, de son cerveau, de sa personnalité.Il protège aussi votre adolescent de difficultés ou de risques auxquels il ne sait pas encore faire face ou dont il n’a même pas encore conscience.

Vous avez des limites à poser pour :

  • qu’il dorme suffisamment pour sa santé, sa croissance, sa mémoire, son bien-être
  • qu’il ne soit pas trop sédentaire
  • qu’il apprenne à respecter les règles de vie en famille, en communauté
  • qu’il se comporte avec respect auprès des personnes qu’il côtoie
  • qu’il accepte la frustration et apprenne à savoir différer la réalisation de ses besoins et de ses désirs
  • qu’il apprenne à utiliser intelligemment son argent sans en devenir l’esclave
  • qu’il organise son temps par rapport à ses devoirs, ses études, ses contraintes, ses tâches ménagères

En fonction de son âge, vous vous habituerez à le laisser faire et à assumer les conséquences de ses choix et de ses actes.

5. Rester un phare dans les tempêtes

L’adolescent a besoin de stabilité et de soutien inconditionnel. Son présent et son futur sont si changeants et si inconnus avec son corps qui change, ses émotions et ses hormones qui le perturbent, ses études de plus en plus exigeantes et ce monde qu’il découvre plus dur et plus effrayant en se confrontant davantage à la réalité de la société. 

Le rassurer compte énormément pour lui donner force et confiance inébranlables en lui et en l’avenir.

Votre famille constitue son premier cocon. C’est son abri le plus familier et donc le plus rassurant contre le reste du monde. C’est son rempart derrière lequel il se ressource et se sent en pleine sécurité. Sa chambre, dans laquelle il se barricade, peut-être trop souvent est son refuge contre les chagrins, les soucis, les peurs et les parents dont il veut parfois s’affranchir trop vite ! 

Votre adolescent a besoin de sentir, dans les hauts et les bas qu’il traverse, dans ses doutes, dans sa rébellion, dans ses désaccords, dans les conflits, que quoi qu’il fasse ou dise, votre présence est indéfectible. Vous êtes son pilier.  

D’autre part, votre famille aimante et bienveillante, grâce à ces habitudes, ses rituels et son amour, comble son besoin d’appartenance à un groupe.

6. Nourrir et Entretenir le lien

Toute relation de qualité et authentique demande du temps et de la régularité.  

Les dialogues sont des moyens excellents de communiquer. Mais ils ne sont pas les seuls et il peut arriver que ceux-ci soient temporairement rompus.

Vous pouvez passer du temps autrement avec plaisir par d’autres activités en fonction de ses goûts et des vôtres.

Les jeux de société permettent de jouer en famille en oubliant d’éventuels problèmes et en s’amusant. Il y en a de toutes sortes. Profitez du fait d’habiter tous sous le même toit pour se divertir dans la bonne humeur tous ensemble. Ces moments resteront des souvenirs précieux pour toute la famille !

Montrez de l’intérêt pour ses passions, pour ses centres d’intérêts, pour ses copains, pour ses lectures, pour ses jeux vidéo. Il se sentira valorisé et intéressant. C’est parfait pour nourrir et faire grandir son estime de soi. 

Et bien sûr, faites de même avec vous ! Transmettez-lui ce qui vous tient à coeur, ce qui vous fait vibrer., ce que vous aimez faire. Parlez-lui de votre activité professionnelle, de votre histoire de vie. Racontez-lui des anecdotes. Toujours en tenant compte de son degré d’intérêt et d’écoute. Par moments, il sera réceptif et enchanté de ce que vous lui racontez. Parfois, il sera fermé et distant. Tout dépend de son humeur, de ses émotions et de son énergie. 

Comprendre son vocabulaire de jeun’s est aussi un moyen de vous intéresser à lui. Par exemple, mes enfants disent de temps en temps « J’ai le seum » qui signifie j’ai la rage, je suis dégoûté.

Dire « Je t’aime » fait aussi partie des musts pour donner de votre amour.

Partagez des tête-à-tête avec lui sans ses frères et soeurs pour avoir des moments privilégiés ensemble. Il se sentira aussi plus à l’aise pour aborder avec vous des sujets particuliers.

Ecouter, avoir de l’empathie, encourager la parole sont vos leitmotivs pour être le meilleur parent possible pour votre adolescent.

Ne laissez jamais tomber quand votre adolescent se renferme dans carapace et se montre hostile envers vous. L’amour, c’est aussi faire preuve de patience et de persévérance dans ses actions vis-à-vis de son adolescent.

En en faisant preuve, vous démontrez à votre jeune, à quel point ces valeurs-qualités sont importantes pour vous. Il pourra s’en inspirer et les développer chez lui.

7. Concilier confiance envers l’adolescent et surveillance

La confiance est la condition non négociable pour donner de la liberté. Parce que vous avez confiance en votre adolescent, vous le laissez rentrer seul à la maison. Parce qu’il accepte vos conditions : ne pas traîner dehors après le collège et le lycée.

Parce que vous avez confiance en votre adolescent, vous lui accordez son propre mobile personnel. Parce qu’il accepte vos conditions : pas plus d’une heure par jour dessus.

Vous lui donnez des droits mais il a des engagements à respecter envers vous. Votre enfant mérite la confiance. Et il doit prouver qu’il en reste toujours digne.

Cela ne signifie pas que vous devez avoir une confiance absolue et aveugle envers lui. Il est bon de le surveiller de temps en temps pour s’assurer de son honnêteté et de sa sécurité.  Ce n’est pas malsain s’il en est averti et fait avec respect. 

Vérifier qu’il n’est pas isolé est aussi important pour s’assurer de son bien-être.

8.Donner du sens pour motiver l’adolescent

C’est essentiel de lui démontrer l’utilité et les bienfaits des études. Sans cela, qu’est-ce qui le motivera à étudier sérieusement et régulièrement ?

Prévoir des projets enthousiasmants avec lui est un excellent moyen de le faire s’investir dans une activité ou dans ses études. Réfléchissez à ce que vous pourriez lui proposer. Par exemple, vous pourriez lui promettre de passer des vacances en Angleterre ou aux USA pour mettre en pratique son anglais étudié à l’école.

L’orientation scolaire est aussi important pour lui permettre de faire le lien entre ses études présentes et son futur. Il lui permet de voir sur le long terme les effets de ses apprentissages en cours.

9. Améliorer sa communication grâce à la CNV

L’une des personnalités les plus connues qui a su impacter son pays et son époque par sa communication non violente, c’est bien Gandhi.

Ici l’idée n’est pas d’avoir un rapport de pouvoir dominant-dominé mais de savoir écouter l’autre, de trouver un terrain d’entente pour que les interlocuteurs sortent gagnant-gagnant de l’échange.

Les mots-clés et expressions qui définissent, dans l’ordre chronologique, la CNV sont :

  1. Observation , description objective d’une situation avec des faits et non des jugements. Par exemple: « tu rentres toujours tard de l’école » est à éviter. Préférez : « depuis la semaine dernière, tous les soirs, tu rentres à la maison à 18h alors que l’école termine à 17h »
  2. Identification et expression de ses émotions. Dire : « Je ne me sens pas respectée par rapport à notre contrat de confiance qui stipule que tu dois rentrer 30 min après l’école au plus tard »
  3. Questionnement de son véritable besoin. Dans l’exemple, le besoin est que l’adolescent respecte la règle que vous avez fixée sur son horaire pour rentrer. Préalablement, faisant preuve d’empathie, vous lui aurez demandez pourquoi il rentre plus tard ? Que fait-il de ce temps volé ? Quel est son besoin ?
  4. Partage de la demande.  Ici, vous lui demandez clairement ce que vous attendez de lui pour la suite. 

Ce type d’échange est puissant mais peu naturel. Seul sa pratique permet d’en faire une habitude et ainsi donc résoudre plus facilement les conflits.

10. Favoriser son bien-être et sa confiance en soi

Ce sont les effets bénéfiques de la pratique régulière d’une activité physique et/ou artistique. L’idée est de lui permettre d’apprendre autrement que par l’école, de préférence dans une activité qui lui plaît. Il comprend que la répétition et l’expérience font progresser. Et il mesure la récompense de ses efforts dans la durée.

J’ai toujours pensé que le sport (tout comme les colonies de vacances où j’envoie chaque année mes enfants), c’est l’école de la vie. Et quand il est collectif, il permet de mieux vivre en groupe et de connaître l’esprit d’équipe. 

Valoriser ses réussites, encourager sa persévérance lui sont très profitables.

L’encourager à proposer des solutions, à résoudre ses problèmes, à suggérer des idées lui font réaliser que vous croyez en lui, en son intelligence et en sa créativité. Il n’est plus le bébé dépendant qui écoute sans esprit critique et sans discernement ce que vous dites. Il est une jeune personne avec des choses pertinentes à proposer.

11. Lui dispenser les informations utiles à sa vie d’ado

L’adolescent comprend de plus en plus de choses sur la vie et sur le monde. Mais quoiqu’il dise (et malgré le fait qu’il vous domine d’une tête !), il reste encore un enfant.

Il ne sait pas tout et il a encore tant à apprendre. C’est pourquoi il est de votre devoir de l’informer sur ce qu’il ignore et sur ce qu’il doit savoir:

  • Consignes de sécurité à respecter pour ne pas tomber malade, ne pas se faire voler ou agresser, ne pas se faire kidnapper
  • Usage des transports en commun : comment prendre le bus, le métro, le tram
  • Complexes : il risque d’en souffrir. Prenez les devants pour en parler et les limiter dans la mesure du possible (ce qui compte, c’est d’essayer). Expliquez-lui que les images, les réseaux sociaux qui véhiculent des corps et visage de rêve sont retouchés et donc que ce sont des modèles utopiques inatteignables
  • Harcèlement scolaire 
  • Sexualité : parlez-en avec lui ou si vous n’êtes pas à l’aise, trouvez une personne de confiance pour en discuter
  • Racisme : s’il risque d’en souffrir, lui expliquer comment se défendre l’aidera mieux que s’il se fait surprendre et qu’il n’est pas préparé. Si non, expliquez en quoi le racisme n’est pas acceptable dans la société. Comme toute autre forme de discrimination d’ailleurs
  • L’actualité nationale et internationale : aidez-le à comprendre le monde dans lequel nous vivons. C’est un monde dur et complexe ! Cela dit, ne tombez pas non plus dans le pessimisme dépressif.
  • Les réseaux sociaux et leurs dérives, les cyber harceleurs et les risques

Cette liste n’est, bien sûr, pas exhaustive car elle dépend de vous, de ce qui vous est personnel et crucial à partager.

Il y a bien sûr des choses qui lui seront enseignées par d’autres adultes, par le collège, le lycée, par des amis. Le tout est de s’assurer qu’il est correctement informé.

Et pour finir, je ne vous lâche pas avec un « bon courage » sans effet mais je vous souhaite dans cette belle et unique aventure de parent de garder la foi en vous et en votre adolescent.

L’amour ne suffit pas au bon développement de votre enfant mais il y contribue fortement !

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lanouvellemamansolo

Le site de référence pour les parents en recherche d'épanouissement personnel après une séparation ou un divorce... Pour en savoir un peu plus sur moi, RV sur ma page "A propos" ;)

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